30. Sa sincérité pour éviter le préservatif.
Peu de temps après, on devait se revoir pour aller au restaurant et passer la soirée ensemble.
C'était l'avant dernier jour de 2007.
Biensûr N. avait insisté auparavant pour m'inviter, mais comme je l'ai déjà expliqué, il n'en était pas question. Et pas question non plus que je paie une fois de plus pour lui.
( Oui, il m'aura fallu du temps pour comprendre que j'avais abusé en l'entretenant autant, mais ses derniers "coups bas" m'avaient permis d'ouvrir un peu plus les yeux.) Donc on payerait chacun sa part et ce n'était pas plus mal.
Avant le rdv il me dit qu'il y aurait son ami et sa copine avec nous au restaurant. Pas de problème.
Quand je suis arrivée à la gare, N. m'attendait.. malgré que ce ne soit qu'un sale connard j'étais heureuse de le revoir. Lui aussi.
quand il m'a pris dans ses bras, j'ai ressenti un bien-être intense. On était heureux de se retrouver. Mon coeur s'est mis à battre très fort.
Je crois que c'est la dernière fois que mon coeur a battu aussi fort pour lui.
Son ami n'était pas encore là. On a attendu un moment, on s'embrassait, on était bien, on avait envie l'un de l'autre...
On était un peu à l'écart de la route, il faisait noir.. On avait déjà eu des plans comme ça, N. et moi.. c'était excitant.
Par contre j'ai un peu cassé l'ambiance quand dès le début j'ai sorti un préservatif, lui rappelant, malgré l'excitation du moment, que je n'avais pas oublié... qu'il avait attrapé une MST.
A ce moment là, N. me regarda, le visage blême à a la vue de la capote, et me re dit qu'il n'avait rien, que ça avait bien été une "fausse alerte".
Devant mon insistance, il me montra sa voiture garée un peu plus loin et me dit qu'il avait à l'interieur une attestation médicale prouvant qu'il n'était pas malade.
Incroyable...
Moi, le préservatif toujours à la main, lui, le pantalon baissé, je lui demandai alors de me jurer de ne plus jamais m'accuser de lui transmettre de maladie.
Il me le jura en me regardant dans les yeux, trop préssé de me voir ranger la capote.
En partant pour le restaurant, dans sa voiture, j'ai pu voir son certificat médical.
tous ses examens étaient effectivement négatifs.
(Je tiens à préciser qu'entre le moment où tout cela s'est produit, et maintenant où j'écris ( Février 2008), j'ai fait le test HIV, qui à été négatif. J'ai vraiment eu de la chance.)
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C'était l'avant dernier jour de 2007.
Biensûr N. avait insisté auparavant pour m'inviter, mais comme je l'ai déjà expliqué, il n'en était pas question. Et pas question non plus que je paie une fois de plus pour lui.
( Oui, il m'aura fallu du temps pour comprendre que j'avais abusé en l'entretenant autant, mais ses derniers "coups bas" m'avaient permis d'ouvrir un peu plus les yeux.) Donc on payerait chacun sa part et ce n'était pas plus mal.
Avant le rdv il me dit qu'il y aurait son ami et sa copine avec nous au restaurant. Pas de problème.
Quand je suis arrivée à la gare, N. m'attendait.. malgré que ce ne soit qu'un sale connard j'étais heureuse de le revoir. Lui aussi.
quand il m'a pris dans ses bras, j'ai ressenti un bien-être intense. On était heureux de se retrouver. Mon coeur s'est mis à battre très fort.
Je crois que c'est la dernière fois que mon coeur a battu aussi fort pour lui.
Son ami n'était pas encore là. On a attendu un moment, on s'embrassait, on était bien, on avait envie l'un de l'autre...
On était un peu à l'écart de la route, il faisait noir.. On avait déjà eu des plans comme ça, N. et moi.. c'était excitant.
Par contre j'ai un peu cassé l'ambiance quand dès le début j'ai sorti un préservatif, lui rappelant, malgré l'excitation du moment, que je n'avais pas oublié... qu'il avait attrapé une MST.
A ce moment là, N. me regarda, le visage blême à a la vue de la capote, et me re dit qu'il n'avait rien, que ça avait bien été une "fausse alerte".
Devant mon insistance, il me montra sa voiture garée un peu plus loin et me dit qu'il avait à l'interieur une attestation médicale prouvant qu'il n'était pas malade.
Incroyable...
Moi, le préservatif toujours à la main, lui, le pantalon baissé, je lui demandai alors de me jurer de ne plus jamais m'accuser de lui transmettre de maladie.
Il me le jura en me regardant dans les yeux, trop préssé de me voir ranger la capote.
En partant pour le restaurant, dans sa voiture, j'ai pu voir son certificat médical.
tous ses examens étaient effectivement négatifs.
(Je tiens à préciser qu'entre le moment où tout cela s'est produit, et maintenant où j'écris ( Février 2008), j'ai fait le test HIV, qui à été négatif. J'ai vraiment eu de la chance.)
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